Basket - EuroLeague Homme
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Basket - EuroLeague Homme
Euroleague - Orléans, le souffle court
6ieme journée :
CSKA Moscou 78-65 Maroussi Athènes
Vitoria 67-60 Virtus Roma
Orleans 84-88 Olympiakos
Real Madrid 70-59 Khimki
Malaga 64-72 Partizan Belgrade
Malgré une belle prestation, Orléans s'incline pour la sixième fois de la saison en Euroligue devant l'Olympiakos (88-84). La première victoire européenne n'était pas loin mais le Lituanien Linus Kleiza, auteur de 19 points dans le dernier quart temps, a crucifié l'équipe française.
L'Euroligue déroule son scénario inlassablement au gré de ses journées. Orléans, courageux, sérieux, appliqué, méritait sans doute mieux que cela pour sa sixième rencontre européenne. Mais les valeurs du coeur ont encore montré leurs limites face au pur talent représenté par l'armada de l'Oympiakos. Bien sur, le coup passa encore une fois si près que l'on songea même à une première victoire des hommes de Philippe Hervé.
On en vient à se demander si l'idée de réduire les rencontres à trois quarts temps ne pourrait pas être révolutionnaire pour espérer une victoire française. Evidemment, l'idée est saugrenue mais a le mérite de rappeler que durant trois quarts temps et demi, Orléans fut dans le coup. Mieux même, les coéquipiers d'un Anthony Dobbins enfin convaincant (12 points, 4 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) avaient fait jeu égal dans les intentions malgré un déficit physique récurrent à ce niveau.
Un bourreau nommé Kleiza
Privé de Josh Childress, rentré aux Etats-Unis après le décès de son père, l'Olympiakos a finalement géré son match. Une entrée en matière sans grand relief, quelques têtes aussi à dégonfler pour prendre le pouls d'un match pas si évident à remporter au final, il aura finalement fallu attendre que le Lituanien Linus Kleiza rentre dans la zone pour permettre de faire la différence. Sacré Lituanien ! Totalement absent des débats en début de match, il enquillait 19 points dans le dernier quart temps pour réduire à néant tout l'effort collectif d'une équipe orléanaise batailleuse malgré ses limites.
L'abnégation et la volonté collective française auront montré, une fois de plus, qu'elles s'avéraient insuffisantes pour exister à ce niveau. Sans clutch player capable de rivaliser les yeux dans les yeux dans le money time, Orléans a subi peu à peu la puissance adverse. Le regard de Philippe Hervé, sentant imperceptiblement l'exploit lui échapper, ne trompait pas en fin de match. Son équipe apprend, encaisse mais elle ne possède pas encore la dimension européenne pour exister. A l'image de deux énormes contres de Bourousis dans les deux dernières minutes pour Le Pirée, la présence d'un pivot dominant reste la clé de voûte pour exister au niveau européen. Orléans grandit, apprend, mais le chemin est long, très long pour s'octroyer le droit de faire partie de la même caste. Si loin, si près, le slogan résonne inlassablement...
ORLEANS - OLYMPIAKOS : 84-88
(18-27, 22-21, 18-18, 30-18)
Orléans : 29 paniers (dont 9 sur 24 à trois points) sur 58 tirs - 17 lancers francs sur 20 tentés - 25 rebonds (Doelmann 6) - 17 passes décisives (Curti 6) - 14 interceptions - 13 balles perdues - 18 fautes personnelles
Marqueurs: Banks (2), Covile (11), Doellman (17), Curti (, Nichols (12), Vaty (6), Moerman (10), Sciarra (6), Dobbins (12)
Olympiakos : 31 paniers (dont 13 sur 21 à trois points) sur 54 tirs - 13 lancers francs sur 17 tentés - 33 rebonds (Vasilopoulos 6) - 25 passes décisives (Papaloukas 14) - 17 balles perdues - 19 fautes personnelles
Marqueurs: Papaloukas (7), Vujcic (5), Bourousis (11), Halperin (22), Kleiza (19), Vasilopoulos (2), Beverley (2), Teodosic (11), Schortsanitis (9)
6ieme journée :
CSKA Moscou 78-65 Maroussi Athènes
Vitoria 67-60 Virtus Roma
Orleans 84-88 Olympiakos
Real Madrid 70-59 Khimki
Malaga 64-72 Partizan Belgrade
Malgré une belle prestation, Orléans s'incline pour la sixième fois de la saison en Euroligue devant l'Olympiakos (88-84). La première victoire européenne n'était pas loin mais le Lituanien Linus Kleiza, auteur de 19 points dans le dernier quart temps, a crucifié l'équipe française.
L'Euroligue déroule son scénario inlassablement au gré de ses journées. Orléans, courageux, sérieux, appliqué, méritait sans doute mieux que cela pour sa sixième rencontre européenne. Mais les valeurs du coeur ont encore montré leurs limites face au pur talent représenté par l'armada de l'Oympiakos. Bien sur, le coup passa encore une fois si près que l'on songea même à une première victoire des hommes de Philippe Hervé.
On en vient à se demander si l'idée de réduire les rencontres à trois quarts temps ne pourrait pas être révolutionnaire pour espérer une victoire française. Evidemment, l'idée est saugrenue mais a le mérite de rappeler que durant trois quarts temps et demi, Orléans fut dans le coup. Mieux même, les coéquipiers d'un Anthony Dobbins enfin convaincant (12 points, 4 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) avaient fait jeu égal dans les intentions malgré un déficit physique récurrent à ce niveau.
Un bourreau nommé Kleiza
Privé de Josh Childress, rentré aux Etats-Unis après le décès de son père, l'Olympiakos a finalement géré son match. Une entrée en matière sans grand relief, quelques têtes aussi à dégonfler pour prendre le pouls d'un match pas si évident à remporter au final, il aura finalement fallu attendre que le Lituanien Linus Kleiza rentre dans la zone pour permettre de faire la différence. Sacré Lituanien ! Totalement absent des débats en début de match, il enquillait 19 points dans le dernier quart temps pour réduire à néant tout l'effort collectif d'une équipe orléanaise batailleuse malgré ses limites.
L'abnégation et la volonté collective française auront montré, une fois de plus, qu'elles s'avéraient insuffisantes pour exister à ce niveau. Sans clutch player capable de rivaliser les yeux dans les yeux dans le money time, Orléans a subi peu à peu la puissance adverse. Le regard de Philippe Hervé, sentant imperceptiblement l'exploit lui échapper, ne trompait pas en fin de match. Son équipe apprend, encaisse mais elle ne possède pas encore la dimension européenne pour exister. A l'image de deux énormes contres de Bourousis dans les deux dernières minutes pour Le Pirée, la présence d'un pivot dominant reste la clé de voûte pour exister au niveau européen. Orléans grandit, apprend, mais le chemin est long, très long pour s'octroyer le droit de faire partie de la même caste. Si loin, si près, le slogan résonne inlassablement...
ORLEANS - OLYMPIAKOS : 84-88
(18-27, 22-21, 18-18, 30-18)
Orléans : 29 paniers (dont 9 sur 24 à trois points) sur 58 tirs - 17 lancers francs sur 20 tentés - 25 rebonds (Doelmann 6) - 17 passes décisives (Curti 6) - 14 interceptions - 13 balles perdues - 18 fautes personnelles
Marqueurs: Banks (2), Covile (11), Doellman (17), Curti (, Nichols (12), Vaty (6), Moerman (10), Sciarra (6), Dobbins (12)
Olympiakos : 31 paniers (dont 13 sur 21 à trois points) sur 54 tirs - 13 lancers francs sur 17 tentés - 33 rebonds (Vasilopoulos 6) - 25 passes décisives (Papaloukas 14) - 17 balles perdues - 19 fautes personnelles
Marqueurs: Papaloukas (7), Vujcic (5), Bourousis (11), Halperin (22), Kleiza (19), Vasilopoulos (2), Beverley (2), Teodosic (11), Schortsanitis (9)
genzooby- Pirate
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Euroleague - L'ASVEL reste en vie
Suite de la 6ieme journée :
Panathinaikos 80-68 AJ Milan
Efes Pilsen Istanbul 77-62 Lietuvos Rytas
Ewe Baskets Oldenburg 80-82 Asseco Prokom
Union Olimpija Ljubjana 65-82 Maccabi Tel Aviv
Sienne 90-64 Cibona Zagreb
Lyon-Villeurbanne 77-67 Kaunas
Barcelone 89-55 Fenerbahce Ulker Istanbul
Une semaine après son succès miraculeux sur le Cibona Zagreb, Villeurbanne a asssuré l'essentiel face au Zalgiris Kaunas (77-67), jeudi à l'Astroballe, pour continuer à croire en son avenir en Euroligue.
En signant sa deuxième victoire en Euroligue face à Kaunas (77-67) jeudi lors de la 6e journée, l'Asvel a confirmé son réveil sur la scène européenne, conservant ainsi toutes ses chances de qualification. Et si le reconstruction de l'Asvel passait par l'Euroligue ? En perdition totale en championnat (13e de ProA, 7 défaites), Villeurbanne commence à montrer des signes de renouveau sur la scène européenne.
Après son premier succès face à Zagreb la semaine dernière, inespéré après quatre défaites d'affilée, l'Asvel a confirmé que cette victoire n'était peut-être pas due au hasard. La mission était claire pour continuer à espérer une qualification dans le Top 16 européen: il fallait battre Kaunas. Et Villeurbanne n'a pas flanché. Si Rawle Marshall, le messie attendu du côté de l'Asvel était passé complètement à côté face à Zagreb, l'Américain a cette fois-ci laissé parler la poudre, meilleur marqueur de la rencontre (20 points) et surtout grand artisan aux côtés de Laurent Foirest et d'Eric Campbell (15 points chacun) de cette démonstration.
"Ca commence à prendre forme. Ca fait longtemps qu'on travaille. Tout le monde s'est battu. On avait besoin de cette victoire, ça nous met du baume au coeur", a résumé Laurent Foirest au micro de Sport +. Les hommes de Vincent Collet, certainement touchés dans leur orgueil par ce début de saison catastrophique et la dernière défaite face au Mans en championnat, ont semblé transfigurés par rapport au match aller où ils avaient été battus de 19 points. Plus agressifs en défense, bien plus tranchants en attaque, les Villeurbannais ont enfin montré une envie et une détermination qui manquaient depuis la début de la saison. L'Asvel était même à deux doigts de rattraper l'écart de la défaite de l'aller face à Kaunas, avec 19 points d'avance à cinq minutes de la fin. Mais la fameux trou d'air de l'Asvel est passé par là. Au final, l'Asvel a assuré le minimum, mais un minimum vital.
Suite de la 6ieme journée :
Panathinaikos 80-68 AJ Milan
Efes Pilsen Istanbul 77-62 Lietuvos Rytas
Ewe Baskets Oldenburg 80-82 Asseco Prokom
Union Olimpija Ljubjana 65-82 Maccabi Tel Aviv
Sienne 90-64 Cibona Zagreb
Lyon-Villeurbanne 77-67 Kaunas
Barcelone 89-55 Fenerbahce Ulker Istanbul
Une semaine après son succès miraculeux sur le Cibona Zagreb, Villeurbanne a asssuré l'essentiel face au Zalgiris Kaunas (77-67), jeudi à l'Astroballe, pour continuer à croire en son avenir en Euroligue.
En signant sa deuxième victoire en Euroligue face à Kaunas (77-67) jeudi lors de la 6e journée, l'Asvel a confirmé son réveil sur la scène européenne, conservant ainsi toutes ses chances de qualification. Et si le reconstruction de l'Asvel passait par l'Euroligue ? En perdition totale en championnat (13e de ProA, 7 défaites), Villeurbanne commence à montrer des signes de renouveau sur la scène européenne.
Après son premier succès face à Zagreb la semaine dernière, inespéré après quatre défaites d'affilée, l'Asvel a confirmé que cette victoire n'était peut-être pas due au hasard. La mission était claire pour continuer à espérer une qualification dans le Top 16 européen: il fallait battre Kaunas. Et Villeurbanne n'a pas flanché. Si Rawle Marshall, le messie attendu du côté de l'Asvel était passé complètement à côté face à Zagreb, l'Américain a cette fois-ci laissé parler la poudre, meilleur marqueur de la rencontre (20 points) et surtout grand artisan aux côtés de Laurent Foirest et d'Eric Campbell (15 points chacun) de cette démonstration.
"Ca commence à prendre forme. Ca fait longtemps qu'on travaille. Tout le monde s'est battu. On avait besoin de cette victoire, ça nous met du baume au coeur", a résumé Laurent Foirest au micro de Sport +. Les hommes de Vincent Collet, certainement touchés dans leur orgueil par ce début de saison catastrophique et la dernière défaite face au Mans en championnat, ont semblé transfigurés par rapport au match aller où ils avaient été battus de 19 points. Plus agressifs en défense, bien plus tranchants en attaque, les Villeurbannais ont enfin montré une envie et une détermination qui manquaient depuis la début de la saison. L'Asvel était même à deux doigts de rattraper l'écart de la défaite de l'aller face à Kaunas, avec 19 points d'avance à cinq minutes de la fin. Mais la fameux trou d'air de l'Asvel est passé par là. Au final, l'Asvel a assuré le minimum, mais un minimum vital.
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Le Barça premier de cordée
J.C. Navarro était l'un des cinq Barcelonais à plus de 10 points contre Fenerbahçce (89-55) (Reuters)
Seule équipe encore invaincue, Barcelone est aussi la première à avoir composté son billet pour le Top 16. Malaga s’est incliné pour la première fois de la saison face au Partizan (64-72), tandis que l’ASVEL peut encore rêver après son succès contre Kaunas (77-67).
Groupe A : L’ASVEL placée, le Barça qualifié
Une semaine après sa démonstration sur le parquet de Sienne (65-84), le Barça est devenu le premier club qualifié pour le Top 16 à la faveur de sa victoire tranquille face à Fenerbahçe en Catalogne (89-55). Cinq joueur blaugrana ont marqué 10 points ou plus et le géant espagnol reste invaincu après ses six premières sorties sur la scène européenne. Facile vainqueur de Zagreb (90-64), le Montepaschi ne devrait pas tarder à le rejoindre au Top 16. Peut-être dès la semaine prochaine. Les Croates menaient encore à la mi-temps (34-36), mais Romain Sato (19 pts) et consorts ont fait le nécessaire en seconde période avec 56 points inscrits. Devancée par Barcelone (6-0), Sienne (5-1) et Fenerbahçe (3-3) au classement de la poule A, l’ASVEL (2-4) pointe à la quatrième place suite à sa victoire contre Kaunas (77-67). Rawle Marshall (20 pts) a été déterminant face aux troupes menées par Dainius Salenga (25 pts). Les Champions de France sont plus que jamais dans la course au Top 16 avec cette deuxième victoire d’affilée. Les Lituaniens ferment la marche avec le Cibona (1-5).
Résultats du groupe A :
Sienne-Zagreb 90-64
Barcelone-Fenerbahçe 89-55
Lyon-Villeurbanne-Kaunas 77-67
Groupe B : Un de chute pour Malaga
Malaga s’est incliné pour la première fois cette saison en Euroligue sur son parquet contre le Partizan Belgrade (64-72). Les coéquipiers de Dusan Kecman (16 pts, 10 rbs) comptent 3 victoires pour 3 défaites et sont à hauteur de l’EP Istanbul et de Vilnius au troisième rang de la hiérarchie de la poule B. L’équipe de la capitale turque a d’ailleurs dominé le Lietuvos Rytas (77-62) avec notamment 17 points et 6 rebonds de Daniel Santiago. Orléans ? Justin Doellman (17 pts), Anthony Dobbins (12 pts, 23 au ranking) et leurs coéquipiers ont fait trembler l’Olympiakos jusqu’au bout (84-88). Mais l’ex-Nugget Leinas Kleiza a marqué 19 de ses… 19 points dans le dernier quart-temps pour forcer la décision sous la houlette de Theodoros Papaloukas (7 pts, 14 pds). Au terme de la sixième journée, Malaga (5-1) mène la danse devant la formation du Pirée (4-2) et le trio Belgrade-Istanbul-Vilnius (3-3). Orléans arrive en queue de peloton et reste la seule équipe sans victoire en Euroligue (0-6). Sans aucun espoir de se mêler à la lutte pour le Top 16 d’ici à la dixième journée…
Résultats du groupe B :
Orléans-Olympiakos 84-88
Malaga-Partizan 64-72
EP Istanbul-Vilnius 77-62
Groupe C : Le Maccabi garde la tête
Eidson Chuck (13 pts, 9 rbs, 6 pds) et ses coéquipiers du Maccabi Tel Aviv conservent la tête du groupe C avec leur victoire à Ljubliana (65-82). La cinquième en six sorties. Les Serbes ferment la marche au classement avec Maroussi, défait sur le parquet du CSKA Moscou (78-65). Les deux équipes ont gagné une fois lors de leurs six premiers matches. Les Moscovites reviennent quant à eux à hauteur de Vitoria au deuxième rang de la poule (4-2). Les Basques se sont en effet inclinés sur leur parquet devant Rome (67-60) malgré les 17 points de Mirza Teletovic et les 15 de Thiago Splitter (8 rbs). La Lottomatica pointe à la quatrième place (3-3).
Résultats du groupe C :
CSKA Moscou-Maroussi 78-65
Vitoria-Rome 67-70
Ljubliana-Maccabi Tel Aviv 65-82
Groupe D : Le Pana et le Real enchaînent
Le Real Madrid et le Panathinakos se partagent toujours la tête de la poule D après la sixième journée. Les deux équipes ont en effet remporté leur cinquième victoire (5-1). C’était contre le Khimki de Robertas Javtokas (17 pts) pour les Madrilènes (70-59). Un succès en forme de revanche puisque les Russes s’étaient imposés à l’aller (84-81). Les champions d’Europe en titre ont pour le part disposé de Milan à Athènes (80-68) avec 16 points de Nikola Pekovic. Le Khimki (4-2) arrive derrière Madrid et Athènes en troisième place .Qyntel Woods et ses 25 unités ont mené Gdydia à la victoire sur le parquet des Allemands d’Oldenburg (80-82). Une victoire, la deuxième, qui permet aux Polonais de se classer quatrièmes (2-4), devant le tandem Milan-Oldenburg (1-5).
Résultats du groupe D :
Real Madrid-Khimki 70-59
Panathinaikos-Milan 80-68
Oldenburg-Gdynia 80-82
Classement :
Groupe A
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Barcelone 12 6 6 0 489 370 119
2 Sienne 11 6 5 1 493 400 93
3 Fenerbahce Ulker Istanbul 9 6 3 3 426 474 -48
4 Lyon-Villeurbanne 8 6 2 4 403 439 -36
5 Kaunas 7 6 1 5 399 438 -39
6 Cibona Zagreb 7 6 1 5 357 446 -89
Groupe B
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Malaga 11 6 5 1 492 450 42
2 Olympiakos 10 6 4 2 532 491 41
3 Efes Pilsen Istanbul 9 6 3 3 479 468 11
4 Lietuvos Rytas 9 6 3 3 443 453 -10
5 Partizan Belgrade 9 6 3 3 423 442 -19
6 Orleans 6 6 0 6 427 492 -65
Groupe C
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Maccabi Tel Aviv 11 6 5 1 486 427 59
2 Vitoria 10 6 4 2 470 451 19
3 CSKA Moscou 10 6 4 2 417 411 6
4 Virtus Roma 9 6 3 3 454 451 3
5 Union Olimpija Ljubjana 7 6 1 5 437 479 -42
6 Maroussi Athènes 7 6 1 5 435 480 -45
Groupe D
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Real Madrid 11 6 5 1 511 415 96
2 Panathinaikos 11 6 5 1 497 409 88
3 Khimki 10 6 4 2 447 459 -12
4 Asseco Prokom 8 6 2 4 455 508 -53
5 Ewe Baskets Oldenburg 7 6 1 5 433 519 -86
J.C. Navarro était l'un des cinq Barcelonais à plus de 10 points contre Fenerbahçce (89-55) (Reuters)
Seule équipe encore invaincue, Barcelone est aussi la première à avoir composté son billet pour le Top 16. Malaga s’est incliné pour la première fois de la saison face au Partizan (64-72), tandis que l’ASVEL peut encore rêver après son succès contre Kaunas (77-67).
Groupe A : L’ASVEL placée, le Barça qualifié
Une semaine après sa démonstration sur le parquet de Sienne (65-84), le Barça est devenu le premier club qualifié pour le Top 16 à la faveur de sa victoire tranquille face à Fenerbahçe en Catalogne (89-55). Cinq joueur blaugrana ont marqué 10 points ou plus et le géant espagnol reste invaincu après ses six premières sorties sur la scène européenne. Facile vainqueur de Zagreb (90-64), le Montepaschi ne devrait pas tarder à le rejoindre au Top 16. Peut-être dès la semaine prochaine. Les Croates menaient encore à la mi-temps (34-36), mais Romain Sato (19 pts) et consorts ont fait le nécessaire en seconde période avec 56 points inscrits. Devancée par Barcelone (6-0), Sienne (5-1) et Fenerbahçe (3-3) au classement de la poule A, l’ASVEL (2-4) pointe à la quatrième place suite à sa victoire contre Kaunas (77-67). Rawle Marshall (20 pts) a été déterminant face aux troupes menées par Dainius Salenga (25 pts). Les Champions de France sont plus que jamais dans la course au Top 16 avec cette deuxième victoire d’affilée. Les Lituaniens ferment la marche avec le Cibona (1-5).
Résultats du groupe A :
Sienne-Zagreb 90-64
Barcelone-Fenerbahçe 89-55
Lyon-Villeurbanne-Kaunas 77-67
Groupe B : Un de chute pour Malaga
Malaga s’est incliné pour la première fois cette saison en Euroligue sur son parquet contre le Partizan Belgrade (64-72). Les coéquipiers de Dusan Kecman (16 pts, 10 rbs) comptent 3 victoires pour 3 défaites et sont à hauteur de l’EP Istanbul et de Vilnius au troisième rang de la hiérarchie de la poule B. L’équipe de la capitale turque a d’ailleurs dominé le Lietuvos Rytas (77-62) avec notamment 17 points et 6 rebonds de Daniel Santiago. Orléans ? Justin Doellman (17 pts), Anthony Dobbins (12 pts, 23 au ranking) et leurs coéquipiers ont fait trembler l’Olympiakos jusqu’au bout (84-88). Mais l’ex-Nugget Leinas Kleiza a marqué 19 de ses… 19 points dans le dernier quart-temps pour forcer la décision sous la houlette de Theodoros Papaloukas (7 pts, 14 pds). Au terme de la sixième journée, Malaga (5-1) mène la danse devant la formation du Pirée (4-2) et le trio Belgrade-Istanbul-Vilnius (3-3). Orléans arrive en queue de peloton et reste la seule équipe sans victoire en Euroligue (0-6). Sans aucun espoir de se mêler à la lutte pour le Top 16 d’ici à la dixième journée…
Résultats du groupe B :
Orléans-Olympiakos 84-88
Malaga-Partizan 64-72
EP Istanbul-Vilnius 77-62
Groupe C : Le Maccabi garde la tête
Eidson Chuck (13 pts, 9 rbs, 6 pds) et ses coéquipiers du Maccabi Tel Aviv conservent la tête du groupe C avec leur victoire à Ljubliana (65-82). La cinquième en six sorties. Les Serbes ferment la marche au classement avec Maroussi, défait sur le parquet du CSKA Moscou (78-65). Les deux équipes ont gagné une fois lors de leurs six premiers matches. Les Moscovites reviennent quant à eux à hauteur de Vitoria au deuxième rang de la poule (4-2). Les Basques se sont en effet inclinés sur leur parquet devant Rome (67-60) malgré les 17 points de Mirza Teletovic et les 15 de Thiago Splitter (8 rbs). La Lottomatica pointe à la quatrième place (3-3).
Résultats du groupe C :
CSKA Moscou-Maroussi 78-65
Vitoria-Rome 67-70
Ljubliana-Maccabi Tel Aviv 65-82
Groupe D : Le Pana et le Real enchaînent
Le Real Madrid et le Panathinakos se partagent toujours la tête de la poule D après la sixième journée. Les deux équipes ont en effet remporté leur cinquième victoire (5-1). C’était contre le Khimki de Robertas Javtokas (17 pts) pour les Madrilènes (70-59). Un succès en forme de revanche puisque les Russes s’étaient imposés à l’aller (84-81). Les champions d’Europe en titre ont pour le part disposé de Milan à Athènes (80-68) avec 16 points de Nikola Pekovic. Le Khimki (4-2) arrive derrière Madrid et Athènes en troisième place .Qyntel Woods et ses 25 unités ont mené Gdydia à la victoire sur le parquet des Allemands d’Oldenburg (80-82). Une victoire, la deuxième, qui permet aux Polonais de se classer quatrièmes (2-4), devant le tandem Milan-Oldenburg (1-5).
Résultats du groupe D :
Real Madrid-Khimki 70-59
Panathinaikos-Milan 80-68
Oldenburg-Gdynia 80-82
Classement :
Groupe A
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Barcelone 12 6 6 0 489 370 119
2 Sienne 11 6 5 1 493 400 93
3 Fenerbahce Ulker Istanbul 9 6 3 3 426 474 -48
4 Lyon-Villeurbanne 8 6 2 4 403 439 -36
5 Kaunas 7 6 1 5 399 438 -39
6 Cibona Zagreb 7 6 1 5 357 446 -89
Groupe B
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Malaga 11 6 5 1 492 450 42
2 Olympiakos 10 6 4 2 532 491 41
3 Efes Pilsen Istanbul 9 6 3 3 479 468 11
4 Lietuvos Rytas 9 6 3 3 443 453 -10
5 Partizan Belgrade 9 6 3 3 423 442 -19
6 Orleans 6 6 0 6 427 492 -65
Groupe C
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Maccabi Tel Aviv 11 6 5 1 486 427 59
2 Vitoria 10 6 4 2 470 451 19
3 CSKA Moscou 10 6 4 2 417 411 6
4 Virtus Roma 9 6 3 3 454 451 3
5 Union Olimpija Ljubjana 7 6 1 5 437 479 -42
6 Maroussi Athènes 7 6 1 5 435 480 -45
Groupe D
Equipe Pts MJ G P + - diff
1 Real Madrid 11 6 5 1 511 415 96
2 Panathinaikos 11 6 5 1 497 409 88
3 Khimki 10 6 4 2 447 459 -12
4 Asseco Prokom 8 6 2 4 455 508 -53
5 Ewe Baskets Oldenburg 7 6 1 5 433 519 -86
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Euroleague - Un coup à jouer pour l'Asvel
Complètement relancée avec ses deux succès de rang en Euroligue, l'Asvel, qui commence enfin à prendre corps, a un bon coup à jouer à Fenerbahce, alors qu'Orléans n'a plus rien à espérer mais va tenter d'arracher son premier succès à Vilnius, ce soir lors de la 7e journée.
FENERBAHCE - ASVEL
Après un début de saison catastrophique, l'Asvel accumule en ce moment les signes d'un véritable réveil, encore timide, mais perceptible. L'électrochoc est venu de l'Euroligue il y a deux semaines avec sa première victoire miraculeuse face au Cibona Zagreb (71-68), confirmée ensuite par son match face à Kaunas (77-67). Lien de cause à effet ou pas, l'Asvel a enchaîné en s'offrant son premier succès -non sans frayeur- à l'extérieur de la saison en ProA devant Chalon-sur-Saône (77-76): un bon bol d'air qui lui a évité une petite crise. Après avoir entraperçu le gouffre, l'Asvel se remet donc à croire en ses chances.
En cas de victoire à Fenerbahce, la qualification pour le Top 16 européen deviendrait plus qu'envisageable: un petit miracle lorsque l'on rappelle que l'Asvel avait enchaîné quatre défaites lors de ses quatre premiers matches en Euroligue. "Le meilleur moyen de se qualifier, c'est de gagner à Istanbul, a confirmé Vincent Collet, l'entraîneur villeurbannais. Il faudra résister à leur dimension physique et défendre fort sur leurs shooteurs extérieurs", souligne le coach de l'Asvel qui sera privée de son meneur TJ Parker (angine). Au match aller, les hommes de Vincent Collet avaient poussé la formation stambouliote aux prolongations avant de s'incliner. Le coup est donc jouable, même si cela constituerait un petit exploit d'aller s'imposer en Turquie.
RYTAS - ORLEANS
Pour Orléans en revanche, bon dernier de son groupe, il n'y a plus rien à espérer. Avec six défaites en six matches, Orléans est quasiment condamné. Mais ces derniers matches européens ne sont pas inutiles pour autant. L'entraîneur d'Orléans Philippe Hervé, qui refuse "de laisser tomber l'Euroligue", y voit "la meilleure préparation possible pour les deux matches de ProA qui restent avant la trêve" (Strasbourg puis Gravelines). L'Entente, qui n'a encore jamais gagné en Euroligue, va d'ailleurs mieux en ce moment après un début de saison délicat: elle s'est en effet imposée deux fois de suite en ProA face à Dijon et Rouen, et a même fait trembler Olympiakos le Pirée (défaite 84-88) lors de la dernière journée d'Euroligue.
Complètement relancée avec ses deux succès de rang en Euroligue, l'Asvel, qui commence enfin à prendre corps, a un bon coup à jouer à Fenerbahce, alors qu'Orléans n'a plus rien à espérer mais va tenter d'arracher son premier succès à Vilnius, ce soir lors de la 7e journée.
FENERBAHCE - ASVEL
Après un début de saison catastrophique, l'Asvel accumule en ce moment les signes d'un véritable réveil, encore timide, mais perceptible. L'électrochoc est venu de l'Euroligue il y a deux semaines avec sa première victoire miraculeuse face au Cibona Zagreb (71-68), confirmée ensuite par son match face à Kaunas (77-67). Lien de cause à effet ou pas, l'Asvel a enchaîné en s'offrant son premier succès -non sans frayeur- à l'extérieur de la saison en ProA devant Chalon-sur-Saône (77-76): un bon bol d'air qui lui a évité une petite crise. Après avoir entraperçu le gouffre, l'Asvel se remet donc à croire en ses chances.
En cas de victoire à Fenerbahce, la qualification pour le Top 16 européen deviendrait plus qu'envisageable: un petit miracle lorsque l'on rappelle que l'Asvel avait enchaîné quatre défaites lors de ses quatre premiers matches en Euroligue. "Le meilleur moyen de se qualifier, c'est de gagner à Istanbul, a confirmé Vincent Collet, l'entraîneur villeurbannais. Il faudra résister à leur dimension physique et défendre fort sur leurs shooteurs extérieurs", souligne le coach de l'Asvel qui sera privée de son meneur TJ Parker (angine). Au match aller, les hommes de Vincent Collet avaient poussé la formation stambouliote aux prolongations avant de s'incliner. Le coup est donc jouable, même si cela constituerait un petit exploit d'aller s'imposer en Turquie.
RYTAS - ORLEANS
Pour Orléans en revanche, bon dernier de son groupe, il n'y a plus rien à espérer. Avec six défaites en six matches, Orléans est quasiment condamné. Mais ces derniers matches européens ne sont pas inutiles pour autant. L'entraîneur d'Orléans Philippe Hervé, qui refuse "de laisser tomber l'Euroligue", y voit "la meilleure préparation possible pour les deux matches de ProA qui restent avant la trêve" (Strasbourg puis Gravelines). L'Entente, qui n'a encore jamais gagné en Euroligue, va d'ailleurs mieux en ce moment après un début de saison délicat: elle s'est en effet imposée deux fois de suite en ProA face à Dijon et Rouen, et a même fait trembler Olympiakos le Pirée (défaite 84-88) lors de la dernière journée d'Euroligue.
genzooby- Pirate
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Pauvre Orléans qui était tellement heureux de s'être qualifié pour participer à ca
Mononeurone- Vice-amiral d'escadre
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Re: Basket - EuroLeague Homme
ils se sont déjà qualifiés, c'est positif
genzooby- Pirate
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Euroleague - L'Asvel est lancée
L'Asvel a signé un troisième succès de rang sur le parquet de Fenerbahce (61-68), lors de la 7e journée de l'Euroligue. Emmenée par Kangur, Traoré et Marshall, la Maison verte fait un grand pas vers le Top 16. Orléans n'a pas réussi à arracher son premier succès à Vilnius (77-72).*
FENERBAHCE - ASVEL : 61-68 (16-14, 18-16, 13-19, 14-19)
L'Asvel n'a pas laissé passer sa chance. Les hommes de Vincent Collent savaient avant ce match face à Fenerbahce qu'ils n'avaient pas le choix pour espérer rattraper leur départ calamiteux en Euroligue (4 défaites en 4 matches): ils devaient gagner pour rester dans la course. Ils ont donc fait ce qu'il fallait face à une équipe qu'ils avaient poussé aux prolongations à l'aller. En arrachant leur 3e succès consécutif (après Zagreb et Kaunas), qui plus est à l'extérieur, l'Asvel a non seulement confirmé son réveil récent, mais s'est également idéalement replacé à la 3e place de son groupe à trois journées de la fin du premier tour.
Avec un Rawle Marshall (15 points, 6 rebonds) décisif en fin de match et un Kristjan Kangur en feu (16 points), l'Asvel a réussi à museler le club stambouliote, montrant une force de caractère qui lui avait fait défaut jusqu'ici. L'Asvel savait que son destin européen se décidait sur ce match et n'a pas flanché: de quoi rassurer l'entraîneur Vincent Collet pour la suite, que ce soit en Euroligue ou en ProA, où là encore, l'Asvel semble s'être réveillé après un début de saison catastrophique avec sa dernière victoire face à Chalon-sur-Saône. Alors qu'après ces quatre premières défaites, l'Asvel semblait condamné au fiasco, la lueur est donc revenue: la qualification pour le Top 16 est en vue.
Villeurbanne: 26 paniers (dont 3 sur 14 à trois points) sur 54 tirs - 13 lancers francs sur 19 tentés - 30 rebonds (Marshall, 6) - 13 passes décisives (Jeanneau 3) - 12 balles perdues
Marqueurs: Kangur (16), Marshall (15), Lukauskis (12), Traoré (12), Dixon (7), Jeanneau (5), Fofana (1)
Fenerbahçe: 21 paniers (dont 4 sur 20 à trois points) sur 53 tirs - 15 lancers francs sur 20 - 34 rebonds (Asik 7) - 12 passes décisives - 16 balles perdues
Marqueurs: Greer (11), Asik (11), Giricek (10), Kinsey (9), Savs (9), Mrsic (7), Erden (2), Preldzic (2)
RYTAS - ORLEANS : 77-72 (23-10, 15-24, 23-21,16-17)
Orléans n'a fait que confirmer une fois de plus son inexpérience, son manque d'ambition, ou tout simplement sa faiblesse sur la scène européenne. Quasiment éliminé avant cette rencontre face à Vilnius, Orléans n'avait rien à perdre mais n'a pas réussi à se libérer. Les Orléanais menaient pourtant de 2 points à 3 minutes de la fin mais ont encaissé un fatal 9-0. Avec sa septième défaite en sept matches, Orléans, qui sait depuis longtemps que ses matches en Euroligue ne servent plus à grand chose, ne peut plus rien espérer. Les derniers matches ne devraient lui servir qu'à engranger de l'expérience.
Vilnius: 23 paniers (dont 11 sur 27 à trois points) sur 53 tirs - 20 lancers francs sur 28 tentés - 26 rebonds - 18 passes décisives - 9 balles perdues
Marqueurs: Zavackas (20), Gecevicius (15), Bjelica (14), Jomantas (9) Babrauskas (8 ), Popovic (6), Borovnjak (3), Baynes (2)
Orléans: 22 paniers (dont 7 sur 17 à trois points) sur 58 tirs - 21 lancers francs sur 27 tentés - 33 rebonds (Nichols 6) - 9 passes décisives (Sciarra 5) - 21 balles perdues
Marqueurs: Nichols (16), Moerman (12), Curti (10), Sciarra (10), Banks (8 ), Covile (7), Dobbins (5), Vaty (4)
Les autres résultats d'hier :
Khimki 82-87 Panathinaikos
Lietuvos Rytas 77-72 Orleans
Fenerbahce Ulker Istanbul 61-68 Lyon-Villeurbanne
Asseco Prokom 82-76 Real Madrid
Maroussi Athènes 74-62 Union Olimpija Ljubjana
AJ Milan 79-51 Ewe Baskets Oldenburg
L'Asvel a signé un troisième succès de rang sur le parquet de Fenerbahce (61-68), lors de la 7e journée de l'Euroligue. Emmenée par Kangur, Traoré et Marshall, la Maison verte fait un grand pas vers le Top 16. Orléans n'a pas réussi à arracher son premier succès à Vilnius (77-72).*
FENERBAHCE - ASVEL : 61-68 (16-14, 18-16, 13-19, 14-19)
L'Asvel n'a pas laissé passer sa chance. Les hommes de Vincent Collent savaient avant ce match face à Fenerbahce qu'ils n'avaient pas le choix pour espérer rattraper leur départ calamiteux en Euroligue (4 défaites en 4 matches): ils devaient gagner pour rester dans la course. Ils ont donc fait ce qu'il fallait face à une équipe qu'ils avaient poussé aux prolongations à l'aller. En arrachant leur 3e succès consécutif (après Zagreb et Kaunas), qui plus est à l'extérieur, l'Asvel a non seulement confirmé son réveil récent, mais s'est également idéalement replacé à la 3e place de son groupe à trois journées de la fin du premier tour.
Avec un Rawle Marshall (15 points, 6 rebonds) décisif en fin de match et un Kristjan Kangur en feu (16 points), l'Asvel a réussi à museler le club stambouliote, montrant une force de caractère qui lui avait fait défaut jusqu'ici. L'Asvel savait que son destin européen se décidait sur ce match et n'a pas flanché: de quoi rassurer l'entraîneur Vincent Collet pour la suite, que ce soit en Euroligue ou en ProA, où là encore, l'Asvel semble s'être réveillé après un début de saison catastrophique avec sa dernière victoire face à Chalon-sur-Saône. Alors qu'après ces quatre premières défaites, l'Asvel semblait condamné au fiasco, la lueur est donc revenue: la qualification pour le Top 16 est en vue.
Villeurbanne: 26 paniers (dont 3 sur 14 à trois points) sur 54 tirs - 13 lancers francs sur 19 tentés - 30 rebonds (Marshall, 6) - 13 passes décisives (Jeanneau 3) - 12 balles perdues
Marqueurs: Kangur (16), Marshall (15), Lukauskis (12), Traoré (12), Dixon (7), Jeanneau (5), Fofana (1)
Fenerbahçe: 21 paniers (dont 4 sur 20 à trois points) sur 53 tirs - 15 lancers francs sur 20 - 34 rebonds (Asik 7) - 12 passes décisives - 16 balles perdues
Marqueurs: Greer (11), Asik (11), Giricek (10), Kinsey (9), Savs (9), Mrsic (7), Erden (2), Preldzic (2)
RYTAS - ORLEANS : 77-72 (23-10, 15-24, 23-21,16-17)
Orléans n'a fait que confirmer une fois de plus son inexpérience, son manque d'ambition, ou tout simplement sa faiblesse sur la scène européenne. Quasiment éliminé avant cette rencontre face à Vilnius, Orléans n'avait rien à perdre mais n'a pas réussi à se libérer. Les Orléanais menaient pourtant de 2 points à 3 minutes de la fin mais ont encaissé un fatal 9-0. Avec sa septième défaite en sept matches, Orléans, qui sait depuis longtemps que ses matches en Euroligue ne servent plus à grand chose, ne peut plus rien espérer. Les derniers matches ne devraient lui servir qu'à engranger de l'expérience.
Vilnius: 23 paniers (dont 11 sur 27 à trois points) sur 53 tirs - 20 lancers francs sur 28 tentés - 26 rebonds - 18 passes décisives - 9 balles perdues
Marqueurs: Zavackas (20), Gecevicius (15), Bjelica (14), Jomantas (9) Babrauskas (8 ), Popovic (6), Borovnjak (3), Baynes (2)
Orléans: 22 paniers (dont 7 sur 17 à trois points) sur 58 tirs - 21 lancers francs sur 27 tentés - 33 rebonds (Nichols 6) - 9 passes décisives (Sciarra 5) - 21 balles perdues
Marqueurs: Nichols (16), Moerman (12), Curti (10), Sciarra (10), Banks (8 ), Covile (7), Dobbins (5), Vaty (4)
Les autres résultats d'hier :
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Fenerbahce Ulker Istanbul 61-68 Lyon-Villeurbanne
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Maroussi Athènes 74-62 Union Olimpija Ljubjana
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genzooby- Pirate
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Re: Basket - EuroLeague Homme
Euroleague - L'ASVEL impuissante
Malgré les 19 points d'Ali Traoré, l'ASVEL s'est inclinée contre Barcelone (64-90), lors de la 9e journée de l'Euroligue. Les Villeurbannais sont encore en course pour le Top 16. Orléans, déjà éliminé, a signé sa deuxième victoire de la saison à Malaga (72-88).
VILLEURBANNE - FC BARCELONE : 64-90 (15-22, 19-23, 20-20, 10-25)
Villeurbanne devra attendre la dernière journée pour tenter de se qualifier pour le Top 16 de l'Euroligue après sa cuisante défaite à domicile jeudi face à Barcelone 90 à 64. Les champions de France joueront leur billet en déplacement la semaine prochaine sur le parquet du Cibona Zagreb. La défaite de l'Asvel est tout sauf une surprise car le "Barça" est pratiquement intouchable depuis le début de la saison. Leader de la Liga, le club catalan est le seul à avoir gagné ses neuf matches d'Euroligue. Les Barcelonais avaient déjà fait la différence dès la mi-temps (+11) grâce à leurs stars Juan Carlos Navarro (15 points) et Ricky Rubio (9 points, 7 passes), à leurs intérieurs grands et adroits à l'image du Sénégalais Boniface Ndong, et à un effectif extrêmement homogène et riche.
Les Villeurbannais ont tenté de s'accrocher le plus longtemps possible, malgré une pression défensive de plus en plus étouffante côté espagnol. Ali Traoré, meilleur marqueur de l'Asvel avec 19 points, ne s'est pas laissé intimider sous les cercles. En revanche les Américains Rawle Marshall et Bobby Dixon sont passés au travers. "J'ai pu scorer mais ça n'a pas suffi à avoir un match serré. L'équipe de Barcelone est très difficile à gérer. Quand un mec sort, il y en a un plus fort qui rentre", a commenté l'intérieur français.
Finalement, les "Verts" ont manqué d'arguments pour contrer la meilleure équipe européenne de l'année et se sont effondrés dans le dernier quart-temps (25-10). La soirée n'a pas été entièrement négative pour les Villeurbannais car leur plus dangereux rival, le Cibona Zagreb, s'est incliné chez les Lituaniens de Kaunas, ce qui fait qu'une victoire en Croatie dans le dernier match de poule les enverra automatiquement au Top 16.
Villeurbanne : 22 paniers (dont 4 sur 17 à trois points) sur 56 tirs - 16 lancers francs sur 20 tentés - 25 rebonds - 13 passes décisives - 10 balles perdues - 19 fautes personnelles
Marqueurs: Lukauskis (10), Jeanneau (4), Dewar (7), T.J. Parker (0), Traoré (19), Campbell (0), Kangur (0), Fofana (0), Marshall (11), Dixon (9), Samnick (4)
Barcelone: 32 paniers (dont 11 sur 23 à trois points) sur 59 tirs - 15 lancers francs sur 19 tentés - 39 rebonds - 25 passes décisives - 11 balles perdues - 15 fautes personnelles
Marqueurs: Basile (5), Trias (2), Rubio (9), Navarro (15), Vazquez (6), Ndong (9), Morris (10), Sada (5), Lorbek (6), Mickeal (13), Grimau (10)
MALAGA - ORLEANS : 72 - 88
Orléans, déjà éliminé de la course au Top 16 de l'Euroligue, a remporté une belle victoire pour l'honneur sur le parquet de Malaga, 88 à 72. C'est le deuxième succès d'affilée décroché par l'Entente dans la grande compétition européenne, à laquelle elle participe pour la première fois. Lors de la précédente journée, les Orléanais avaient battu le Partizan Belgrade. Mené de 7 points après un quart-temps, Orléans s'est accroché pour finalement s'envoler dans les dix dernières minutes (32-15). Les Américains Cedric Banks et Justin Doellman ont été les meilleurs marqueurs du match avec 23 et 18 points. Les Espagnols, qui n'avaient été battus que deux fois en huit matches, étaient déjà assurés de leur place au Top 16.
Malgré les 19 points d'Ali Traoré, l'ASVEL s'est inclinée contre Barcelone (64-90), lors de la 9e journée de l'Euroligue. Les Villeurbannais sont encore en course pour le Top 16. Orléans, déjà éliminé, a signé sa deuxième victoire de la saison à Malaga (72-88).
VILLEURBANNE - FC BARCELONE : 64-90 (15-22, 19-23, 20-20, 10-25)
Villeurbanne devra attendre la dernière journée pour tenter de se qualifier pour le Top 16 de l'Euroligue après sa cuisante défaite à domicile jeudi face à Barcelone 90 à 64. Les champions de France joueront leur billet en déplacement la semaine prochaine sur le parquet du Cibona Zagreb. La défaite de l'Asvel est tout sauf une surprise car le "Barça" est pratiquement intouchable depuis le début de la saison. Leader de la Liga, le club catalan est le seul à avoir gagné ses neuf matches d'Euroligue. Les Barcelonais avaient déjà fait la différence dès la mi-temps (+11) grâce à leurs stars Juan Carlos Navarro (15 points) et Ricky Rubio (9 points, 7 passes), à leurs intérieurs grands et adroits à l'image du Sénégalais Boniface Ndong, et à un effectif extrêmement homogène et riche.
Les Villeurbannais ont tenté de s'accrocher le plus longtemps possible, malgré une pression défensive de plus en plus étouffante côté espagnol. Ali Traoré, meilleur marqueur de l'Asvel avec 19 points, ne s'est pas laissé intimider sous les cercles. En revanche les Américains Rawle Marshall et Bobby Dixon sont passés au travers. "J'ai pu scorer mais ça n'a pas suffi à avoir un match serré. L'équipe de Barcelone est très difficile à gérer. Quand un mec sort, il y en a un plus fort qui rentre", a commenté l'intérieur français.
Finalement, les "Verts" ont manqué d'arguments pour contrer la meilleure équipe européenne de l'année et se sont effondrés dans le dernier quart-temps (25-10). La soirée n'a pas été entièrement négative pour les Villeurbannais car leur plus dangereux rival, le Cibona Zagreb, s'est incliné chez les Lituaniens de Kaunas, ce qui fait qu'une victoire en Croatie dans le dernier match de poule les enverra automatiquement au Top 16.
Villeurbanne : 22 paniers (dont 4 sur 17 à trois points) sur 56 tirs - 16 lancers francs sur 20 tentés - 25 rebonds - 13 passes décisives - 10 balles perdues - 19 fautes personnelles
Marqueurs: Lukauskis (10), Jeanneau (4), Dewar (7), T.J. Parker (0), Traoré (19), Campbell (0), Kangur (0), Fofana (0), Marshall (11), Dixon (9), Samnick (4)
Barcelone: 32 paniers (dont 11 sur 23 à trois points) sur 59 tirs - 15 lancers francs sur 19 tentés - 39 rebonds - 25 passes décisives - 11 balles perdues - 15 fautes personnelles
Marqueurs: Basile (5), Trias (2), Rubio (9), Navarro (15), Vazquez (6), Ndong (9), Morris (10), Sada (5), Lorbek (6), Mickeal (13), Grimau (10)
MALAGA - ORLEANS : 72 - 88
Orléans, déjà éliminé de la course au Top 16 de l'Euroligue, a remporté une belle victoire pour l'honneur sur le parquet de Malaga, 88 à 72. C'est le deuxième succès d'affilée décroché par l'Entente dans la grande compétition européenne, à laquelle elle participe pour la première fois. Lors de la précédente journée, les Orléanais avaient battu le Partizan Belgrade. Mené de 7 points après un quart-temps, Orléans s'est accroché pour finalement s'envoler dans les dix dernières minutes (32-15). Les Américains Cedric Banks et Justin Doellman ont été les meilleurs marqueurs du match avec 23 et 18 points. Les Espagnols, qui n'avaient été battus que deux fois en huit matches, étaient déjà assurés de leur place au Top 16.
genzooby- Pirate
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